"Les flammes apparurent derrière les nuages, puis les transpercèrent, le ciel devint bientôt un énorme brasier et nous tous ressentions cette chaleur infernale venue droit des abysses. Un gouffre se forma dans cet océan de feu, un gouffre noire qui me fit penser au vide ( le texte devint illisible a ce moment, l'écriture démontre que l'auteur a rédigé ces mots dans une agitaiton extrême)...ils se réunirent alors, nombreux était des seigneurs des enfers, se joignait à eux des seigneurs de la magie et de l’art, et d’autre encore. Ils levèrent tous les yeux au ciel et acceptèrent le combat... (des traces de sang, dont j’estime l’appartenance à l’auteur, ont détruit certains passages du manuscrit, le texte redevint lisible plusieurs lignes après)...ux cents ils étaient partis, soixante-quatre revinrent. Il ne s’était passé que quelques secondes, mais..........années s’étaient écoulés. Ils avaient chan...( les quelques mots apparant entre les taches de sang sont indéchiffrables, cependant la fin du texte est relativement lisible) Ils viennent me chercher, je ne sais si ce sont ceux dont on dit que la vie ne s’épuisera jamais, ou ceux ki regneront sur le monde de la surface, peu importe, ils viennent prendre mon âme et mes secrets, les gardiens de pierre ont tenté de me protégé, mais les sanguinaires les occupent, je suis seul, et avec moi disparaitront les secrets du monde qui se lève. ( la piêtre qualié des écrits qui suivent indique que l’auteur rédigeait ses derniers mots dans la précipitation) La cinquième porte est tombée, les trois dernières ne tarderont pas. Je lègue au monde trois de mes fils, puissiez vous venger la mort du dernier des anciens, Agamenrath, Lycane et Pasenom, puissiez vous renverser l’ordre instauré par Rhansateras et ses sbires. ( le texte est signé dans l’écriture ancienne, le nom peut se traduire par Korsis)"
Etude du sixième ancien parchemin de l’Alpharetus par le maître scribe Nirolas
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