bon c pas tip top terrible je m'en rend compte et j'auria voulu mieux, mais bon l'idée est là...
Abalayn se leva, et le silence se fit autour de la table. Il regarda longuement chaque membres du conseil un à un avant de commencer.
- J’ai l’honneur de voir autour de cette table de grandes personnes, grandes par leur courage et leur volonté de lutter pour leurs conviction. ( voilà des jours que le conseil discutait de point et d’autres, et le roi de Camolerre n’avait pas pris la parole depuis longtemps, agacé par l’allure que prenait les événements.) Nous sommes tous réunit dans cette cité car nous possédons un ennemi commun. Un dirigeant dont la puissance dépasse toutes nos forces réunis. Un homme qui il y a un siècle n’est parti de rien pour aujourd’hui régner en maître absolu sur le plus grand empire au monde. Un homme possédant des centaines de milliers de soldats sous ses ordres.
Il marqua une pause, son auditoire était tout ouie.
- C’est ce genre de personne qui écrive l’histoire, et qui reste éternellement dans les souvenirs. Des gens comme ça sont exceptionnels, l’histoire en a connu d’autre. Nous en avons connu d’autre.
Certains acquiescèrent autour de la table.
- Je les divise en deux catégories : ceux qui utilisent leur puissance dans leur unique intérêt, et ceux qui l’utilise pour faire quelque chose, pour construire quelque chose. Corben appartient à la première.
Le prince robussi attendit qu’Abalayn marque une pause.
- Où veut tu en venir mon ami ?
- A une époque une femme exceptionnelle a foulé cette terre. Vous la connaissez tous. Certaines personnes ici aurait donner leur vie pour elle, et des millions à travers ce continent aurait fait de même. Je l’aurai fait. Et je ne l’aurai pas fait pour son enveloppe charnelle, ni ses richesses, ou sa puissance ou ce que cela apporterai à ma carrière comme ceux qui se battent sous les ordres de Corben. Mais pour une idée, celle qu’elle a défendu de toutes ses forces : l’idée d’une paix générale, d’une cohabitation possible entre des milliards d’êtres différents. Les gens n’avaient pas foi en Kamillia, mais dans l’idée qu’elle voulait transmettre. Dans cet amour possible.
Un nouveau silence se fit alors que le roi de Camolerre regarda tour à tour les membres du conseil.
- Nous sommes réunis ici pour lutter contre Corben, ses actes, son ambition démesurée pour laquelle il est prêt à tout les sacrifices. Nous sommes réunis ici pou une idée, une idée noble telle que celle qui ont fait de Scilia et de kamillia des dirigeants inoubliables. L’idée de bien, de justice, l’idée qu’au fond de nous nous avons tous jugé Corben comme partisan du mal, comme néfaste et dangereux. Certains peuples représenté autour de cette table se sont livré la guerre durant des années, des générations entières qui se sont hais sans but. Mais aujourd’hui vous êtes prêt à vous battre côte à côte, et pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui un sentiment nous animes tous, un sentiment de justice, ce sentiment qui nous convins que ce que l’on va faire est la meilleur chose à faire, celle que notre cœur nous dicte. Cette foi inébranlable qui ne nous fera jamais douté, qui nous poussera à nous surpasser. Car nous affrontons le mal en personne, un homme qui a acquis sa puissance à l’aide de massacre, de complot et de trahison, une homme qui pactise avec le chaos, un homme qui n’hésite pas à se débarrasser de fidèles serviteurs quand ceux-ci ne lui sont plus utile, un homme dont l’ambition nous conduira tôt ou tard à notre perte. Car cette homme veut notre perte, à nous autres qui avons le cœur de se lever contre des gens comme lui. Il massacrera nos femmes et nos enfants, brûlera nos demeures, et fera de même pour les peuples suivant qui se rebelleront.
Abalayn embrassa la salle de ses bras..
- je sais que des raisons politiques et diplomatiques poussent certains ici à hésiter, à réclamer des preuves, des certitudes. Et je sais ô combien cela est important pour vous, car votre décision pourrait influencer le sort de votre peuple… J’ai des preuves, mais je ne pourrai les amener ici, sachez cependant que si je ne les avait pas eu en ma possession, j’aurai agit exactement de la même manière. Mes amis… regardez au fond de vous, avez vous besoin de preuve. Je sais que vous les attendez tous, je sais que vos cœur serait libérés si la preuve formelle que corben est bien partisan du mal absolue était étalé de suite sur cette table. Mais vous l’avez… vous êtes venus ici, pas pour conclure de traité ou autres, mais parce que vous voulez vous opposer à Corben, et vous êtes venus chercher ici une raison officiel de pouvoir aller en guerre contre lui. C’est votre cœur qui vous pousse à prendre les armes et à lutter pour vos convictions. Et je sais que votre cœur est bon, et que vos convictions sont nobles.
Le Roi de Camolerre dégaina sa longue épée.
- Mon peuple a confiance en mes choix, car ils sont guidés par mon cœur et rien d’autre. J’enverrai ce soir un courrier ordonnant que les fils et les filles de Camolerre prennent les armes et qu’ils se préparent à affronter le mal. Et même si cela entraîne la fin pour mon peuple, je préfère cela que de me dire dans 10, 20 ou 30 ans, lorsque les armées de Corben encercleront ma demeure, « pourquoi je n’ai rien fait lorsque je le pouvais ».
Il brandit son épée au dessus de la table, ses deux conseillers se levèrent également, la fierté illuminant leurs visages.
- Nous sommes tous différents, représentant des peuples différents, avec des coutumes et des lois différentes. Et ainsi nous ne pouvons vaincre Corben, car il nous est supérieur en nombre et en puissance. Mais si nous partons à la guerre ensemble, si nous sommes unit sous une même bannières, celle de la justice, du bien. Si nous marchons face à l’ennemi, guidé par la seul volonté de notre cœur, soudé par une même idée, une idée qui donne une foi et un courage inébranlable à tout homme qui se bat pour elle. Alors nous vaincrons Corben, Car si ses hommes seront motivé par une forte solde militaire, nous autres ne connaîtrons pas le doute, nous autres ne reculerons pas face aux nombres ou tout ce que cet homme pourra nous envoyer. Aucune peur ne peut envahir l’homme qui est prêt à mourir pour ce qu’il croit juste. Joignez vous à moi . Marchons ensemble contre notre ennemi commun. Unissons nous sous la bannière de la justice et du bien. Unissons nous afin que partout dans le monde les gens oppressés par cet homme voient que nous nous dressons contre lui, et qu’ils nous rejoignent à leur tour, donnons leur cet espoir.
Un long silence accompagna ces paroles, la scène semblait figée. Puis Alrik, prince des Robussis se leva, dégainant son épée pour imiter Abalayn.
- Les Robussis te suivront dans cette croisade Roi de Camolerre.
Voyant cela Tarok se leva à son tour et tendit sa lourde hache runique au dessus de la table.
- Comme je l’ai déjà dit, Mon roi Azrul de la Bordure partira en guerre à vos côtés.
Yuwi'r'inaye'yin tendit le bras gauche, droit devant elle, puis invoqua son Sinaiisokaii
- Le sang des guerriers de Corben ornera bientôt ma lame. Les Sriiu t'accompagneront dans cette guerre, Abalayn
Sarkan de la forêt prit la même posture que ses nouveaux alliés. Les Quatre représentants elfiques des éléments firent de même. S’en suivit le nouveau chef des semi orc, le chef barbare sourire aux lèvres, puis les Kologorriens et les nippons.
Tout les regards convergèrent vers l’Ambassadeur des Nains de la Montagnes. Celui ci regarda le centre de la table en parlant de sa voix rauque et profonde.
- Nous autres Nains de la Montagne ne partons pas en guerre ainsi. C’est une décision que seul le Haut Roi peut prendre. Il est le Gardien de notre peuple et sa sagesse est grande. Mon rôle est de lui transmettre ce qui a été dit ici, et il refusera de prendre la tête de tout son peuple pour cette guerre. Cependant… cependant, je vous donne ma parole que vous recevrez une aide pour ce que vous entreprenez, car nos lois autorisent certains d’entre nous à partir en guerre avec tout hommes qui voudront le suivre, pour quelques raisons que ce soit. Même si la Grande Armée ne participera pas à cette guerre, vos ennemis pourront venir s’empaler sur les rangs de solides guerriers nains.
Ainsi les Grands s’unirent et se dressèrent contre l’Empereur Corben.
Et allez vous faire foutre
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..... cqfd 
bah je le fais pas, mais voila comme dixit plus haut bah j'aurais pus faire entrer en guerre 
le peuple des nains de la montagne donc re